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Le premier recueil est celui dans lequel La Fontaine définit le genre des Fables : il s'inscrit dans la continuité d'Esope, mais s'en distingue en donnant une nouvelle orientation au genre. C'est celui qu'évoque Rousseau dans l'extrait que nous avons lu. Méthodologie proposée :* Choisissez 5 fables dans ce premier recueil (vous pouvez organiser votre choix autour d'un thème : le pouvoir... ; d'un animal ...)* Imprimez-les afin de pouvoir les travailler sans rédiger, en surlignant* Etudiez leur forme, la morale (place et sens), le choix des aniamux, les sources ... en vous inspirant du travail fait pour les autres fablesCeci est le minimum requis pour cette séquence. Un examinateur peut difficilement exiger que vous connaissiez très bien plus d'une douzaine de Fables (avec celles que nous aurons travaillé en classe) : et ce nombre suffit également pour vous permettre d'argumenter, à l'oral ou dans une dissertation. Mais il vous faut connaître très très bien ces fables, être capable de citer des passages par coeur, ou retenir la morale.Parcours de lecture conseillé pour compléter vos notes sur La Fontaine, réviser, ou accompagner votre lecture :
étape 1
http://www.lafontaine.net/lafontaine/lafontaine.php?id=54
dans "Oeuvres" ouvrir "Fables" et lire : "Les sources des fables", "Morales et maximes des fables", "Qu'est-ce qu'une fable ?"
étape 2
http://www.site-magister.com/prepas/fables.htm
synthèse sur les animaux dans le deuxième recueil, qui peut apporter un éclairage sur le premier recueil étape 3lire la dédicace à Mme de Montespan, avertissement au deuxième recueil, qui prévient le lecteur du changement d'orientation : désormais, les fables ne s'adressent plus aux enfants (peut servir d'argument contre Rousseau)

Kalila et Dimna serait la traduction en arabe des Fables de Bidpaï, traduction rédigée vers 750 par Ibn al Muqaffa. Ce texte fut à son tour traduit en mogol, en latin ... et en turc (il y a donc bien un point de contact entre la culture turque et ces fables, donc une source possible pour certaines des histoires de Nassr Eddin el Hodja) - C'est ce texte arabe qui est traduit en 1644, comme de nombreux autres textes philosophiques arabes, et que La Fontaine a lu. Il a sans doute pu en voir des exemplaires enluminés.
Ces enluminures sont extrêmement connues. Parcourez-les en ayant à l'esprit notre travail sur l'illustration.
La page de la Bibliothèque nationale :
http://expositions.bnf.fr/livrarab/reperes/livre/kalila.htm
Davantage d'enluminures dans le "gros plan sur " proposé en bas de page.